(1)

On trouver à la fin de cette monographie la liste des différents éléments blindés qui formaient ces deux groupements.


(2)

Témoignage de Madame Jean STREEL, recueilli le 03 mai 1993.

nous nous référerons à son témoignage sous son nom de jeune fille, Anne- Marie DALEM


(3)

L'auteur avait cru comprendre que les Allemands étaient venus de HESTREUX. 

Requestionnant le témoin, c'est bien de Hody que les "SS" étaient arrivés de LIMONT.


(4)

Les sœurs GROSJEAN se prénommaient respectivement EMMA (décédée) et MATHILDE (âgée de 92 ans en 1994). Elles habitaient dans les premières maisons à droite de la grand route en venant d'ESNEUX.

(5)

Témoignage recueilli par l'auteur.


(6)

La plupart des habitations se situaient sur la hauteur.


(7)

Voir les photos pages 11 et 12, ainsi que la carte n°3 de la page 19.


(8)

Témoignages de Madame ANNE-Marie DALEM, de Madame CAREME et d'une des sœurs GROSJEAN


(9)

Voir le témoignage fait en 1947 par Madame LONEUX-LECOMPTE (6)


(10)

On appelle " alliance" en Belgique, l'anneau de mariage. Il est presque toujours de forme simple et en or. Les coutumes étant différentes aux Etats-Unis. Cette bague aurait été une bague de fiançailles. 


(11)

une photo d'époque présentée à la hauteur par Monsieur Roger SPINEUX, de LIMONT, illustre cela très bien. Toutefois, par respect pour les familles des victimes, l'auteur ne souhaite pas publier cette photo.


(12)

Cette observation est très important comme on le verra par la suite. 

Lors de l'entrevue avec l'auteur, Madame Anne-Marie DALEM confirma qu'un petit char s'était immobilisé près de la voie ferrée du tram vicinal, non loin du monument. Plusieurs autres témoins ont également signalé cela. De plus, le témoin confirma que les restes brûlés des 2 soldats américains restés coincés à l'avant de celui-ci, en furent extraits plus tard par des hommes de LIMONT, recueillis dans deux sacs qui furent également ramenés dans la classe de l'école et déposés aux pieds des cinq corps y déjà rassemblés.


(13)

Dans son témoignage, un des Américains survivants parle d'un "TIGRE", tandis que l'autre parle d'une pièce d'artillerie, sans préciser. 

C'est le moment de signaler ici le témoignage des propriétaires de la maison sise 32, Grand route à LIMONT. Cette maison fut construite après la guerre en face de la maison des sœurs GROSJEAN.

Le jardin de cette maison se trouvait dans le champs de tir des blindés allemands. Ils y trouvèrent un obus non-explosé de 75mm. Ils firent appel au service de déminage d'Heverlee, près de Leuven.

Ils trouvèrent également une "Eisernes Kreuz", une Croix de Fer, perdue par un "SS". La découverte de cet obus va permettre d'éliminer le "TIGER" ou PZKpfw. VI qui armé d'un canon de 88 mm, et qui était plutôt rare. Nos témoins, Madame Anne-Marie DALEM et une des sœurs GROSJEAN, ont bien vu des gros véhicules blindés chenilles. Ceci élimine le canon anti-char allemand PAK 40, bien que cette pièce utilise la munition de 75mm. Restent alors: le fameux PZKpfw V "PANTHER", et d'autre part, le PZKPFW IV ausf. (= versoins) F,G ou H, ainsi ue le chasseur de chars , le "sturmeschütz 40" . mieux connu sous son abréviation de "Stu. G. III. Ces trois engins tirent des obus de 75mm. Si le premier est aussi plutôt rare à cette date, les deux derniers constituent l'équipement standard des "Panzerdivisionnen".

L'auteur n'étant pas un spécialiste en la matière, il s'est rallié à l'avis de plusieurs connaisseurs qui ont convaincu qu'il s'est agi plus que probablement du "Sturmgeschütz. Bien qu'à l'arrêt et ne possédant qu'un débattement de 10 degrés de part et d'autres en azimuth. Cette puissante pièce couvrait largement le champ de tir dans lequel se déplaçaient les divers véhicules américains de la petite colonne.


(14)

C'est ce croyait le soldat de première classe Claude D. DEMPSEY. En fait, il était toujours vivant, probablement inconscient. Les "SS" le retirèrent de l'épave en feu. Ils le firent transporter à la ferme toute proche dans la voiture réquisitionnée de Monsieur Jules FLAMMAND (toujours vivant en 1994) instituteur à Comblain-au-Pont, chef de la Croix -Rouge et résistant.

Monsieur FLAMAND prodique quelques soins au blessé moribond. Une ambulance allemande ammena le blessé. Voir aussi en annexe le rapport de l'enquête menée par les Américiains et les témoignages de Madame LONEUX-LECOMTE et CAREME, et de Monsieur VANCRAYENEST; GRUSLIN; HANQUIN et FLAMAND.


(15)

Vernon J. JENSEN suppose que cela s'est produit parce que Joseph R. MICHEAL tenait encore son arme à la main.


(16)

La présence de deux sacs noirs aux pieds des cinq victimes fut mentionnée indépendamment lors du commentaire de la photo.